Infos

La Section “Infos” se trouvera désormais dans les pages Facebook et Linkedin de Hayden Global qui vous tiendront au courant de nos activités. Il nous semble plus opportun et plus rapide de communiquer nos idées de façon hebdomadaire, mensuelle et trimestrielle plutôt qu’une fois par an. Veuillez cliquer sur le lien ci-dessous pour prendre connaissance des dernières infos.

  Page Entreprise de Facebook
  Page Entreprise de Linkedin


Infos 2011  |  Infos 2010  |  Infos 2009  |  Infos 2008

Infos 2011

Hong Kong fut notre première destination en 2011. Nos premiers rendez-vous ayant lieu à Shenzhen et Guangzhou, nous avons pris le ferry pour Shenzhen à l’Aéroport International de Hong Kong situé sur l’ile de Chek Lap Kok, ce qui est un moyen pratique pour entrer en Chine continentale. Avant d’arriver aux filtres de police de Hong Kong, suivez les panneaux indiquant « Ferries » sur votre droite. Après avoir acheté vos billets, descendez par l’escalier roulant et prenez le train indiquant « Sky Pier ». Vous trouverez alors la porte indiquant votre destination. La mienne était Sukou Shenzhen. Une demi-heure plus tard nous passions les contrôles d’immigration chinois à Shenzhen, une ville de 14 millions d’habitants.

A Shenzhen nous avons visité deux usines de grand intérêt. La première était une usine de plastiques dont le Directeur était très fier. A l’évidence, il n’est pas seulement certifié ISO 2000 : il s’y conforme véritablement, à la différence de ces nombreuses compagnies qui, après avoir obtenu leur certification, s’empressent d’en oublier la plupart des différents points et raccourcissent leur chaîne d’approvisionnement en achetant des matières premières moins chères. Ceci afin de maximaliser leurs bénéfices ou proposer des prix plus bas. Le toit de cette usine de plastiques est des plus impressionnants. Les eaux provenant des opérations de fabrication et l’air provenant des opérations de peinture y sont respectivement filtrées et purifié. Aucune de ces procédures n’est obligatoire mais le propriétaire tient à avoir les usines les plus avancées de Chine.

Nous avons ensuite visité une usine de Diodes Électroluminescentes (DEL) connaissant un taux de croissance rapide. Les DEL sont utilisées pour l’éclairage urbain, l’éclairage des stades et les ampoules fluorescentes. Les propriétaires construisent actuellement une unité de production pour 2000 employées ainsi que des dortoirs.

Après notre voyage en Chine nous sommes revenus aux Etats-Unis afin d’assister à deux réunions de grande importance. Nous avons d’abord rencontré David Adelman, Ambassadeur des USA à Singapour, ainsi que son attaché commercial. Il fut convenu de nous retrouver à Singapour au Sommet d’Activités Régional US Asie Pacifique le 4 mars. J’ai ensuite rencontré un groupe de conseillers financiers cherchant des moyens d’aider leurs clients dans le climat financier que nous connaissons. La plupart des PME américaines n’étant pas en mesure de trouver un acheteur avant cinq à huit ans, j’ai insisté sur l’avantage d’une expansion à l’échelle mondiale. Dans la mesure où la population des Etats-Unis représente 5% de la population mondiale et l’Asie 60%, ces entreprises pourraient non seulement rester compétitives mais pourront se vendre beaucoup plus cher lorsque le marché se raffermira. J’ai donc mis l’accent sur l’importance d’une expansion à l’échelle mondiale permettant de limiter les risques politiques et commerciaux.

Quelques heures plus tard nous étions en route pour Singapour pour y rencontrer l’équipe américaine des Services Commerciaux et nous demander comment les entreprises américaines pourraient commencer à exporter vers Singapour et vers l’Association des Nations de l’Asie du Sud-Est (ANASE). L’ANASE comprend Singapour, la Thaïlande, l’Indonésie, la Malaisie, les Philippines, le Sultanat de Brunei, le Myanmar, le Cambodge, le Laos et le Vietnam. Le marché de l’ANASE est deux fois plus important que celui des Etats-Unis. Singapour est le 10ème partenaire commercial des Etats-Unis bien qu’il en soit distant de 14500 km. L’anglais est la langue principale et Singapour arrive en deuxième position derrière la Suisse pour la protection des droits de propriété intellectuelle et se situe au premier rang mondial pour ses facilités d’implantation commerciale.

A l’issue de nos réunions à Singapour nous nous sommes rendus à Hô-Chi-Minh-Ville (ex-Saigon) au Vietnam. Nos entretiens ont porté sur l’expansion rapide du marché pour les exportations américaines vers le Vietnam. Hô-Chi-Minh-Ville est une ville intéressante de 11 millions d’habitants et la plus importante concentration de deux-roues motorisés du monde. La question est de savoir si Singapour va devenir le prochain Tigre Asiatique comme la Corée ou s’il va imploser à l’instar des Philippines. Le Vietnam doit répondre à de nombreux défis mais offre également de grandes possibilités. Le gouvernement communiste a signé le Traité de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) mais n’avance pas aussi rapidement que la Chine.

Après Hô-Chi-Minh-Ville nous sommes allés à Da Nang. Cette ville connaît un taux de croissance économique remarquable. Nous nous sommes entretenus avec quelques conseillers financiers et avons évoqué le volume et la vitalité de cette croissance. Sur des kilomètres le long de China Beach jusqu’à Hoi An, le développement des hôtels, des villas et des terrains de golf est exceptionnel. Une station balnéaire Hyatt Regency avec hôtel et villas résidentielles à vendre est en construction sur trois kilomètres de front de mer. De même que le Raffles de Singapour, le Groupe Furama du Japon et le Méridien. Sir Colin Montgomery du Royaume Uni construit des villas et un complexe de golf de 36 trous sur le bord de mer. Greg Norman d’Australie fait de même lui aussi sur le front de mer. Tout ceci à partir d’une ville située à quelques kilomètres d’immeubles d’habitation de type Communiste Russe dans un état déplorable. La vitesse avec laquelle ces développements se construisent est à couper le souffle.

Notre étape suivante fut Xiamen (prononcez Cha-men) en Chine. Xiamen est une ville côtière de Chine continentale faisant face à Taiwan. Cette ville se trouvant dans l’une des cinq Zones Economiques Spéciales, le niveau de vie de ses habitants s’est amélioré de façon spectaculaire. Le PIB nominal par tête a doublé entre 2001 et 2008. La ville a fait des progrès considérables grâce à un investissement de 30 milliards de dollars. Trente six des 500 premières entreprises mondiales, et parmi elles Dell, Kodak, Coca-Cola, Boeing, General Electric et Honeywell, ont investi dans plus de 70 projets à Xiamen.

Pour conclure, il n’est pas exagéré de dire que les possibilités commerciales foisonnent dans le marché asiatique.


Infos 2010

Je ne sais pas si vous avez suivi les problèmes que le volcan islandais Eyjafjallajökull (prononcez [è-ya-fi-ya-la-yer-kul] a créé dans toute l’Europe. Ce volcan recouvert d’un glacier s’est mis à cracher des cendres le 13 avril et il ne semble pas près de s’arrêter. Sa dernière éruption remonte à 1821-1823. J’ai pensé que ce qui se passe à terre pourrait vous intéresser. Cet événement a créé un véritable chaos ayant pour conséquence la fermeture, pendant plus d’une semaine, de la plupart des aéroports européens. Ma femme et moi étions à Rome et nous avions l’intention de nous rendre à Paris pour assister à différentes réunions de travail.

L’avion étant impraticable, j’ai décidé de louer une voiture chez Europcar pour aller de Rome à Paris. Europcar voulait me prendre 160 $ pour les quatorze heures de trajet et me demandait également 1000 $ pour laisser la voiture à Paris. Nous avons refusé, espérant trouver quelque chose de moins cher. Lors d’une réunion à l’Ambassade des Etats-Unis à Rome, un des attachés m’a raconté que 4000 personnes avaient pris les choses en main –et en pied – et avaient effectivement rejoint le Royaume Uni à pied en empruntant le Tunnel sous la Manche. Ce Tunnel, long d’une cinquantaine de kilomètres, est ouvert aux voitures, aux poids-lourds et au TGV. Le service de ferries sur la Manche fonctionnait mais, d’après la chaîne d’informations Al Jazeera, il était impossible de réserver une place. Il s’est avéré que je ne pouvais ni prendre le train, ni louer une voiture, ni prendre l’avion. Des Allemands ont acheté des bicyclettes et sont rentrés chez eux en pédalant. Des gens sont restés dans des aéroports pendant plus d’une semaine sans se laver et certains n’avaient même plus d’argent pour s’acheter à manger.

Ma femme et moi avons alors pensé retourner à Atlanta et reporter mes rendez-vous parisiens. Une compagnie américaine demandait 10 600 $ pour deux allers simples pour Atlanta. La semaine suivante, lorsque les compagnies ont réactivé leurs vols, les tarifs sont retombés à 1 518 $ pour deux. Rome était l’un des rares aéroports autorisant les vols pour l’Amérique du Nord. L’Asie avait annulé la plupart de ses vols à destination de l’Europe. Les gens étaient cloués au sol partout dans le monde. Le 20 avril la BBC a annoncé que les premières réservations pour aller d’Europe aux Etats-Unis ne seraient disponibles que le 5 mai.

Nous étions descendus dans un hôtel proche de la Via Veneto, non loin de l’Ambassade des USA. Nous devions demander tous les matins s’il y avait eu des annulations nous permettant de rester à l’hôtel après l’expiration de notre réservation. Entre deux rendez-vous je téléphonais et je visitais des hôtels pour voir s’il y avait des chambres disponibles. Les hôtels trois étoiles appliquaient les tarifs des hôtels cinq étoiles. Pour prohibitifs qu’ils paraissent, ces tarifs l’étaient moins que ceux pratiqués par les compagnies aériennes pour rejoindre les Etats-Unis.

Ma femme et moi avions l’impression d’être les héros du film « Casablanca » qui attendent tous les jours l’avion pour Lisbonne. Nous éprouvions la même double angoisse de savoir si l’avion allait partir et si nous allions trouver un hôtel pour passer la nuit suivante. Lorsque la frustration fut à son comble ma femme m’a souri et m’a dit : « Tu sais, nous avons survécu à un coup d’Etat en Afrique et à un attentat à la voiture piégée de l’ETA à Madrid. Ça, ce n’est pas grave. » Elle avait raison, bien sûr. Nous nous sommes mis à rire nous avons descendu les Escaliers d’Espagne en direction de la Piazza della Rotonda pour regarder, devant un bon verre de vin, le soleil se coucher sur le Panthéon.

A l’issue de mon rendez-vous à l’Ambassade des Etats-Unis à Rome, le Délégué Commercial Adjoint, Bob Bannermann, m’a dit que lui et sa femme allaient de rendre à Paris en voiture si les aéroports n’étaient pas rouverts pour le weekend. Il m’a proposé de nous prendre avec eux mais qu’il n’avait pas de place pour nos bagages. Nous étions prêts à payer les 460 $ qu’UPS nous réclamait pour acheminer nos bagages à Paris. De même que les Bannermann nous avons eu la chance de voir les vols redémarrer le weekend. Les gens un peu partout essayaient d’être utiles.

Nous étions réservés en Classe Affaires sur Kuwait Airlines entre Rome et Paris. La compagnie nous a demandé d’appeler tous les matins pour savoir si le vol aurait lieu le jour de notre départ. Nous ne saurions que le matin de notre départ si l’avion décollerait. S’il ne partait pas le jour prévu nous serions mis en bas d’une liste d’attente avec quelques milliers d’autres passagers devant se rendre à Paris. Nous avons été tout heureux le jour où nous avons appris que nous allions aller de Rome à Paris par le premier vol à partir depuis la fermeture des aéroports. Nous avons laissé éclater notre bonheur lorsque la porte de l’avion s’est fermée et que les moteurs se sont mis en route. Bien qu’il n’y ait ni vin ni champagne sur Kuwait Airlines, le personnel de cabine, attentionné, nous a offert du café et des dattes.

A notre arrivée à Paris, Victor, notre chauffeur, nous a envoyé un autre chauffeur, Joseph. C’est Victor qui nous conduit habituellement de Charles De Gaulle à l’appartement de nos amis dans le Marais. Victor et Joseph avaient deux convoyages. Joseph devait aller de Paris à Rome, soit 1437 km et Victor de Paris à Moscou, soit 2486 km. Victor et Joseph prennent 2,5 Euros du kilomètre. Ce qui revient à dire que le trajet Paris Rome coûte 4957 $ et Paris Moscou 8390 $. En voiture!

Mes voyages à travers le monde pour mes affaires m’ont appris que c’est lorsque ce genre d’événement survient que les individus, dont M. et Mm. Bannermann, montrent le meilleur d’eux-mêmes. Les gens vont devoir s’armer de beaucoup de patience et faire preuve d’une grande politesse s’ils voyagent cet été car Eyjafjallajökull ne montre aucun signe d’accalmie.


Infos 2009

Hayden Global : Infos 2ème semestre

Nous avons commencé le deuxième semestre de l’année 2009 par un tour du monde. Nous sommes allés au Japon, à Singapour, en Thaïlande, en Inde, dans les Emirats Arabes Unis (UAE) et en Egypte avant de revenir aux Etats-Unis.

Il s’avère que l’économie indienne résiste bien en ces temps de crise économique mondiale. Le Fonds Monétaire International prévoit une hausse de la croissance économique de l’Inde de l’ordre de 5,4 à 6,5 % en 2010.

En marge de nos visites habituelles des grandes villes telles que New Delhi, Chennai (Madras), Mumbai (Bombay), et Bangalore, nous nous sommes également rendus dans les plus petites villes de Kochi et Panaji dans le sud-ouest de l’Inde. Au cours de nos précédents voyages en Inde nous étions allés à Dehra Dun, proche de la frontière entre le Népal et la Chine.

L’économie rurale de l’Inde résiste mieux que dans le reste du pays. Le gouvernement indien a ciblé des projets spécifiques visant à augmenter les revenus des agriculteurs en subventionnant le prix des récoltes. En revanche, la croissance du secteur industriel du pays n’a été que de 2,4 % entre avril 2008 et mars 2009, alors que cette croissance avait été de 7 % au cours des 16 années précédentes. Cette situation a amené les industriels à effectuer des licenciements mal acceptés. Selon le Ministère du Travail indien, les grèves dans le secteur industriel ont augmenté de 48 % en 2008.

L’économie indienne a toujours été confrontée au problème de la disponibilité des capitaux à long terme. L’élection de la coalition menée par le Congrès en mai 2009 laisse penser que des réformes économiques seront mises en œuvre de façon plus énergique.

Il semble que les mesures de relance économique de l’Inde et de la Chine aient un effet positif sur l’économie de ces deux pays. Les mesures de relance en Chine ont stimulé les ventes dans le secteur immobilier. Le montant de l’apport personnel passant de 30 à 20 % du prix du bien immobilier ainsi que de nouveaux taux d’intérêt plus intéressants font partie de ces mesures. L’un des problèmes du marché de l’immobilier asiatique réside dans le fait que les taux d’intérêt sont généralement fixes pour une durée de trois ans seulement, ce qui pose le risque d’une augmentation ultérieure.

Le marché de l’immobilier de Singapour s’est également amélioré. Les investisseurs spéculatifs de Chine et d’autres pays du sud-est asiatique se tournent maintenant vers Singapour.

A l’exception du Japon et des EAU (Emirats Arabes Unis), la performance des Bourses de ces pays d’Asie reflète dans une large mesure la reprise économique que nous avons constatée. L’Inde, l’Indonésie, Taiwan et la Thaïlande ont vu des gains de plus de 70%. Suivent la Chine, HongKong et Singapour avec des gains de plus de 60%. Et enfin la Corée avec plus de 40%.


Hayden Global : Infos 1er semestre

En 2009, Robert Hayden & Co s’est déjà rendu à Pékin, Hong Kong, Shanghai, Dalian et Tianjin. Nous sommes également allés à Hiroshima et à Osaka au Japon à des fins de recherche. Nous avons aussi visité Busan et Incheon en Corée.

En janvier 2009 Robert F. Hayden & Co. a été admis comme membre du Groupe de Travail du Rail Américain (ARWG) à l’Ambassade des Etats-Unis de Pékin. Parmi les autres membres de ce Groupe on peut citer General Electric, Le Groupe Carlyle, Honeywell, UPS Chine et Caterpillar.

Nous poursuivons notre collaboration avec les entreprises qui cherchent à bénéficier du plan de relance de 548 milliards de dollars du gouvernement chinois.

Infos 2008

Robert F. Hayden & Co. s’est rendu cinq fois en Chine en 2008 pour des durées variant entre 14 et 30 jours. Nos destinations furent Pékin, Nankin, Xiang, Hong Kong, Kumming et Shanghai. Nous sommes également allés à Suzhou, Jingdezhen, Wuhan, Jinzhou, Fendu et la Municipalité de Chongqing abritant 32 millions d’habitants. Nous avons en outre visité le Barrage des Trois Gorges, la plus grande centrale hydroélectrique du monde.

Des réunions se sont tenues à l’ancienne et à la nouvelle Ambassade des Etats-Unis à Pékin. L’inauguration de la nouvelle Ambassade a coïncidé avec l’ouverture des Jeux Olympiques. Nous avons également rencontré des diplomates chinois à l’Ambassade de Chine à Washington.

Nous avons pu établir des contacts avec certaines agences gouvernementales des Etats-Unis qui proposent une aide financière aux compagnies américaines en concurrence avec des compagnies étrangères en Chine. Ainsi à Pékin nous avons rencontré les responsables du Ministère du Commerce des Etats-Unis et nous avons travaillé avec l’Agence Américaine pour le Commerce et le Développement (USTDA) à Pékin et à Washington, ce qui nous a permis d’obtenir une allocation de 210 000 $ pour un de nos clients.

Nous avons établi de nouveaux contacts avec des cabinets d’avocats chinois spécialisés en droits de la propriété intellectuelle, droit du travail, et créations d’entreprises en Chine. De plus, nous avons eu des réunions avec un certain nombre de coentreprises et avec l’un des ministères les plus importants du gouvernement chinois à Pékin. Nous avons également assisté à Shanghai à des conférences sur le transport en Asie.

Nous avons rencontré des agences de différents gouvernements d’Etats américains qui offrent une aide aux entreprises chinoises désirant agrandir leurs unités de production aux Etats-Unis. Inversement nous avons rencontré des agences chinoises qui aident les entrepreneurs américains à s’établir en Chine et les entreprises chinoises à s’établir aux Etats-Unis. En 2008 l’une de ces agences chinoises a fait venir aux Etats-Unis 146 chefs d’entreprise qui ont acheté pour 13,6 milliards de dollars de biens et d’équipements. Nous avons également travaillé avec un grand nombre d’entreprises américaines déjà établies en Chine.

En ce qui concerne le côté culturel, quelques-uns de nos clients ont visité la Cité Interdite, la Place Tienanmen, la Grande Muraille à Pékin et la maison de Mao Tsé-toung à Shanghai. Afin d’avoir une meilleure connaissance des secteurs sociaux et commerciaux de Chine nous nous sommes rendus à Fendu, l’une des villes nouvelles construites pour reloger les personnes déplacées par le projet du Barrage des Trois Gorges. Nous avons également visité une école primaire à Jinzhou pour avoir une idée précise du système éducatif. Nous avons visité un centre ferroviaire et de logistique à Kunming pour mieux apprécier l’énorme projet infrastructurel de 450 milliards de dollars que le gouvernement chinois met en place pour 2009. Enfin nous avons parcouru les installations portuaires de Hong Kong, de Shanghai, de Dalian et de Tianjin.

En fin d’année 2008, Robert F. Hayden & Co. a recherché de nouvelles possibilités en Europe et en Afrique du Nord. En Europe, nous sommes allés au Portugal, en Espagne, en France, en Italie et en Sicile. Pour l’Afrique du Nord, la Tunisie, Malte et le Maroc.